Entrée du quartier d'Ankawa, le quartier chrétien d'Erbil. Erbil, Kurdistan Irakien, Irak. Au café Migre, les exilés de Qaraqosh du quartier d'Ankawa se retrouvent pour tuer le temps. Ankawa, Erbil, Kurdistan irakien. Irak Originaire de Qaraqosh, Dhia Sakat dirigeait une importante exploitation agricole et avicole (Il élevait notamment 18 000 poulets), il vit désormais à Erbil en exil et attend que sa ville soit libérée. Amoureux de son pays, il souhaite ardemment pouvoir y rester et y vivre en toute tranquilité et n'envisage en aucune manière de quitter l'Irak. Monsieur SAKAT pose ici devant la devanture du café Migre où se réunissent chaque jours d'anciens habitants de Qaraqosh. Erbil, Kurdistan Irakien, Irak. Ambiance dans les rues d'Ankawa, le quartier chrétien d'Erbil. À Gauche, l'ancien président Irakien d'origine Kurde Jalal Talabani et le président du Kurdistant Irakien Massoud Barzani ; à droite, la Sainte Vierge. Erbil, Kurdistan irakien. Irak Vue d'Ankawa Mall, important complexe commercial où étaient réfugiées plusieurs centaines de familles Chrétiennes et Yézidis au début de la crise des réfugiés de la plaine de Ninive. Erbil, Irak Un couple de jeunes mariés sortent de la cathédrale Mar Youssef (Saint Joseph) d'Ankawa, à l'issue de leur célébration de mariage. Lui vient du Canada, où il a émigré il y a plusieurs années, elle est arrivée avec sa famille à Erbil en juillet 2014, avec le flot des immigrés. Il se dit que, pour beaucoup de chrétiens, le mariage avec un étranger est une bonne porte de sortie de cet Irak tourmenté où la majorité des chrétiens craint désormais de vivre. Erbil, Kurdistan irakien. Irak Vue de la cathédrâle Mar Youssef (Saint Joseph) d'Ankawa à la tombée de la nuit, Erbil, Kurdistan irakien. Irak Une jeune femme kurde consulte son téléphone portable dans un restaurant du quartier chrétien d'Erbil, capitale du Kurdisan irakien, à moins de 80 kilomètres des lignes de Daech. Irak. Enfants dans le camp de réfugiés dit Camp Sport d'Ankawa. Erbil. Kurdistan Irakien. Irak. Ambiance au camp de réfugiés d'Ankawa 2, dit Asti. Erbil. Kurdistan Irakien. Irak. En quittant Qaraqosh pour fuir Daesh, la famille NADJAR a emporté un ventilateur car c'était l'été et qu'un bébé d'un mois venait d'agrandir la famille, un chapelet donné à Salwan, le père de famille, par son oncle alors qu'il partait faire son service militaire ainsi qu'une statue de la sainte Vierge offerte par une cousine de la famille à l'occasion d'un anniversaire. La famille NADJAR occupe la caravane numéro 678 dans le camp de réfugiés d'Ankawa 2, dit Asti. Erbil, Kurdistan Irakien, Irak. Un garde armé à l'entrée de l’archevêché syriaque d'Erbil. Erbil. Kurdistan Irakien. Irak. Portrait de Mgr Yohanna Petros MOUCHÉ, archevêque catholique syriaque de Mossoul réfugié à Erbil. Erbil. Kurdistan Irakien. Irak. ur la route entre Erbil et Kirkouk. Malgré la guerre toute proche, le blé continue de pousser, la vie continue. Irak. esse célébrée par Monseigneur Mirkis, évêque de Kirkouk. Kirkouk, Irak. Messe célébrée par Monseigneur Mirkis, évêque de Kirkouk. Kirkouk, Irak. Sortie d'une messe célébrée par Monseigneur Mirkis, évêque de Kirkouk. Kirkouk, Irak. Cour principale de l’évêché de Kirkouk, Irak Ambiance au foyer pour jeunes filles étudiantes de Kirkouk. La plupart d'entre elles sont des réfugiées chrétiennes en exil à Erbil ne pouvant y poursuivre leurs études faute d'un enseignement en Arabe. Kirkouk, Irak Ambiance au foyer d'étudiants de Kirkouk. La plupart d'entre eux sont des réfugiés chrétiens en exil à Erbil ne pouvant y poursuivre leurs études faute d'un enseignement en Arabe. Kirkouk, Irak Etudiants dans un foyer à Kirkouk. La plupart d'entre eux sont des réfugiés chrétiens exilés à Erbil où ils ne peuvent poursuivre leurs études faute d'enseignement dispensé en arabe. Kirkouk, Irak. Portrait d'Ali, étudiant musulman originaire de Mossoul - qu'il a fuie après une succession de menaces de la part de Daesh. Ses parents et l'une de ses soeurs vivent toujours à Mossoul. Le jour où Daesh est entré dans Mossoul, son père, directeur d'une grande entreprise, s'est fait tirer dessus. Il est maintenant tétraplégique. Au foyer d'étudiants de Kirkouk, Ali appelle ses camarades de chambrée ses frères - "friends is not enough". Kirkouk, Irak Deux étudiantes sortent de l'université de Kirkouk. Kirkouk, Irak Au dernier étage d'un grand magasin du centre d'Erbil, non loin du Grand Bazar de Nishtinam, des appartements ont été aménagés pour des réfugiés chrétiens de la plaine de Ninive. Erbil, Kurdistan irakien, Irak. Au dernier étage d'un grand magasin du centre d'Erbil, non loin du Grand Bazar de Nishtinam, des appartements ont été aménagés pour des réfugiés chrétiens de la plaine de Ninive. Erbil, Kurdistan irakien, Irak. nauguration et messe de l'église de Mar Shmony - construite pour les chrétiens réfugiés d'Erbil - célébrée par Monseigneur Yohanna Petros MOUCHÉ, archevêque catholique syriaque de Mossoul. Ankawa, Erbil, Kurdistan irakien, Irak. Inauguration et messe de l'église de Mar Shmony - construite pour les chrétiens réfugiés d'Erbil - célébrée par Monseigneur Yohanna Petros MOUCHÉ, archevêque catholique syriaque de Mossoul. Ankawa, Erbil, Kurdistan irakien, Irak. Inauguration et messe de l'église de Mar Shmony - construite pour les chrétiens réfugiés d'Erbil - célébrée par Monseigneur Yohanna Petros MOUCHÉ, archevêque catholique syriaque de Mossoul. Ankawa, Erbil, Kurdistan irakien, Irak. A l'issue de la messe d'inauguration de l'église de Mar Shmony - construite pour les chrétiens réfugiés d'Erbil - un groupe de fidèles vient prier au pied d'une statue de la Vierge Marie. Ankawa, Erbil, Kurdistan irakien, Irak. ERBIL EN ATTENDANT Par Jean-Matthieu Gautier // Télécharger une image – voir la série complète // Depuis le mois d’Août 2014, plusieurs centaines de milliers de familles Chrétiennes et Yézidis ont fui les villes de Mossoul, Qaraqosh, Alqosh et tous les villages de la plaine de Ninive, face à l’avancée de Daesh. Pour la plupart réfugiées à Erbil, capitale du Kurdistan irakien, ces familles oscillent entre l’envie de quitter définitivement l’Irak et l’espoir de retourner chez elles. En attendant, et malgré quelques belles initiatives, elles sont condamnées à attendre. Ville de pétrole à l’économie dynamique, Erbil n’est pour autant pas en mesure de fournir du travail à tous, d’autant que se présente un problème de langue. Au Kurdistan, on parle Kurde, or les réfugiés de la plaine de Ninive parlent Arabe. D’où l’initiative de Mgr Mirkis de créer un foyer d’étudiants dans sa ville de Kirkouk pour permettre à environ 400 étudiants de venir étudier à l’université de Kirkouk, où les cours sont dispensés en Arabe.